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LA LARME ... le goût de l’odeur

Elle s’indigne contre l’exclusion parentale

jeudi 22 mars 2012, par Jeanne HILLION

recto / verso

la larme ; le goût de l’odeur

Julia Bordes

Hercule & Jane

Parution : 21 Mars 2012

Genre : Littérature Française Romans Nouvelles Correspondance

44 pages, 21 X 14 cm, 85 grammes

9782954143705

Prix éditeur ttc : 4.50 €

Disponible chez l’éditeur

L’avis des éditeurs :

Dans cette nouvelle sobrement intitulée « La Larme « , Julia Bordes met des mots sur les maux de l’enfance.

Préfacée par Paul Bensussan, psychiatre et expert de renommée mondiale, qui se décrit ému et bouleversé à la lecture de ce texte, on comprend mieux les douleurs de l’exclusion parentale, que près de 700.000 enfants vivent en France. « J’achève la lecture de « La Larme » comme je l’ai commencée : en haleine, le souffle coupé par ces douleurs d’enfant que vous avez si bien su restituer. »

C’est par la voix d’un petit héros que l’auteur décrit ses incompréhensions de petite fille. Petit garçon mené à faire un choix entre ses deux parents pour survivre aux querelles destructrices, cet enfant finira par trancher, faisant de lui l’auteur d’une amputation forcée.

« Oscillation permanente entre l’angoisse d’abandon et la fusion, entre la quête affective et le don éperdu de sa propre vie. » écrit encore Paul Bensussan dans sa préface.

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La Larme, le goût de l’odeur

20 mars 2012

Le goût de l’odeur...

La Presse :

"Elle s’indigne contre les séparations. C’est un peu une croisade qu’entame Julia Bordes avec son petit livre "La larme"... Elle a envie de faire passer des messages forts à ceux qui vivent des séparations"
(Sud Ouest 29 février 2012)

"Empreint d’émotions, écrit avec pudeur et justesse, le texte d’une trentaine de pages touche en plein coeur et se fait l’écho de la parole de l’enfant"
(DL 03 mars 2012)

Sortie nationale du livre le 28 Mars 2012

C’est par la voix d’un petit héros que l’auteur décrit ses incompréhensions de petite fille.

Petit garçon mené à faire un choix entre ses deux parents pour survivre aux querelles destructrices, cet enfant finira par trancher, faisant de lui l’auteur d’une amputation forcée.

L’enfant s’accuse.

« Un jour de printemps je n’ai plus revu mon père… Ce jour-là je me suis mutilé seul, seul devant la Justice de notre beau pays. [ … ] J’ai éliminé mon père pour espérer survivre. J’ai dit de lui le faux. [ … ] Je l’ai dit et je l’ai presque cru. [ … ] Elle voulait ne plus le voir, il fallait que je le tue. Je l’ai tué pour elle et elle ne s’est même pas sali les mains… »

Un livre percutant, formidable hommage aux senteurs du vivant,
que l’auteur a voulu finir sur une note senteur d’espoir, pour que "La Larme"se fasse enfin larme de joie…