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la convention a 21 ans
le droit de dire non
dimanche 21 novembre 2010, par
pour les 21 ans de la convention qui protège les enfants, l’UNICEF a demandé la participation de la chanteuse CAMELIA JORDANA et a adapté les paroles pour lancer un message : celui du droit des enfants A DIRE NON.
pour regarder la vidéo du chant en studio (plus compréhensible )
Pour la Journée Internationale des droits de l’enfant le 20 novembre 2010, l’Unicef France a organisé
une FLASHMOB dansante devant la Tour Eiffel à Paris, sur la chanson "Non, non, non, le droit de dire non" reprise par Camélia Jordana pour l’Unicef France.
Pour ne pas oublier que les enfants et les jeunes ont le droit de s’exprimer et de participer !
Flashmob Unicef France pour les droits de l’enfant 20/11/10
envoyé par unicef. - Regardez les dernières vidéos d’actu.
ici :
et enfin pour apprendre la chorégraphie, suivez cette vidéo :
Chorégraphie flashmob UNICEF/Camélia Jordana 20 nov 2010
envoyé par unicef. - L’info video en direct.
Non Non Non (le droit de dire « non ») Camélia Jordana / Doriand, pour l’Unicef
Combien de fois faut-il
Le redire avec style
Ils ont tous le droit de dire « non »
Non, non, non, non
Parc’qu’il ne faut pas se taire
Non, non, non, non
Ni jamais se laisser faire
Non, non, non, non
Parcqu’il faut bien s’affirmer
Non, non, non, non
ça fait du bien d’exister
Dire non ce n’est pas le mot des
enfants rois
Faut-il le dire en Russe, en
Français, en Chinois
Dire « non » c’est même un droit
Non
Ce n’est pas grand-chose à dire
Mais ça suffit pour grandir
Non
S’ils n’ont pas envie parfois
De faire « ci » de faire « ça »
Même s’ils n’ont pas le choix
Ils ont tous le droit de dire « non »
Non, non, non, non
Parc’qu’il ne faut pas se taire
Non, non, non, non
Ni jamais se laisser faire
Non, non, non, non
Parcqu’il faut bien s’affirmer
Non, non, non, non
ça fait du bien d’exister
Dire non ce n’est pas le mot des
enfants rois
Faut-il le dire en Russe, en
Français, en Chinois
Dire « non » c’est même un droit
Non
On ne dit pas toujours oui
Même quand on est tout petit
Non
On n’est pas toujours d’accord
Faut le dire haut et fort
Et même si on a tord
On a bien le droit de dire « non »
Non, non, non, non
Parc’qu’il ne faut pas se taire
Non, non, non, non
Ni jamais se laisser faire
Non, non, non, non
Parcqu’il faut bien s’affirmer
Non, non, non, non
ça fait du bien d’exister
Dire non ce n’est pas le mot des
enfants rois
Faut-il le dire en Russe, en
Français, en Chinois
Dire « non » c’est même un droit
Participez au clip officiel !
Et quoi de mieux… que de faire participer les jeunes pour passer le message ! Ils sont donc tous invités à collaborer au clip officiel de la chanson « Non, non, non, le droit de dire non » : pour cela, il suffit de se rendre sur le site internet de Wat.tv, de s’entraîner sur le karaoké, de s’enregistrer (à l’aide d’une webcam, d’une caméra ou d’un appareil photo qui propose cette fonction, voire même d’un téléphone portable…), et de déposer ensuite votre vidéo sur le site de Wat.tv avant le 10 novembre. Si votre contribution est sélectionnée, vous pourrez vous découvrir dans le clip officiel qui sera révélé en exclusivité sur unicef.fr le 20 novembre prochain…
Et pourquoi ne pas danser aussi ? Renseignez-vous : une flashmob sur la chanson « Non, non, non, le droit de dire non » sera peut-être organisée le 20 novembre dans votre ville… Contactez le comité Unicef de votre département pour en savoir plus !
Voir en ligne : UNICEF
Selon ses statuts, l’Unicef France a notamment pour objet de "concourir et d’œuvrer en faveur de l’enfance défavorisée des pays industrialisés, notamment de la France, dans le cadre de la politique de l’Unicef et de l’application de la Convention internationale des droits de l’enfant, et des autres conventions internationales".
En France :
plus de deux millions d’enfants vivent sous le seuil de pauvreté (seuil européen),
environ 15 000 enfants sont sans domicile fixe avec leurs familles (donc ballottés de foyers en hébergements précaires ou à la rue),
on compte près de 40 000 tentatives de suicide annuelles,
environ 100 000 enfants chaque année sont signalés comme enfants en danger (enfants maltraités et en risque),
plus de 270 000 enfants sont confiés aux services de l’Aide Sociale à l’Enfance, séparés parfois durablement de leurs familles ou d’un environnement considéré trop délétère…
Le mandat de l’Unicef France ne lui permet pas de développer de programmes directement auprès d’enfants en difficulté, ni de soutenir financièrement des projets sur le territoire français. L’action de l’Unicef en France s’inscrit donc résolument dans une action de plaidoyer en faveur des droits de l’enfant dans notre pays et de lobby auprès des pouvoirs publics.
Depuis 2008, l’Unicef France a défini plusieurs priorités :
la recherche d’un statut protecteur pour les mineurs étrangers isolés,
la lutte contre les mutilations génitales féminines / excision,
la prévention des violences dans le milieu scolaire,
De plus, certains thèmes ont vocation à être abordés en fonction des projets législatifs en cours. Ainsi pour la réforme de l’ordonnance de 1945 sur la justice des mineurs en France.
Récemment, l’Unicef a également pris position contre le projet de suppression du poste de Défenseure des enfants.
Vérifier l’application de la Convention des droits de l’enfant en France
Les gouvernements qui ratifient la Convention ou l’un de ses Protocoles facultatifs doivent soumettre des rapports au Comité des droits de l’enfant, le groupe d’experts qui siège à Genève et qui est chargé de surveiller l’application de ces instruments par les États.
L’article 45 de la Convention charge l’Unicef des tâches suivantes :
participer à l’examen des rapports des États parties ;
donner des avis spécialisés sur l’application de la Convention ;
soumettre au Comité des droits de l’enfant des rapports sur l’application de la Convention ;
donner suite aux demandes que lui adresse le Comité au sujet des conseils ou de l’assistance technique à apporter à un État partie.
pour télécharger :
1. Rapports de la France à la Commission des droits de l’enfant de Genève
2. L’ANALYSE FAITE PAR L’UNICEF EN PREVISION DE L’AUDITION DE LA FRANCE A GENEVE
3. L’analyse faite par DEI (Défense des enfants international)
4. Vingt recommandations faites par DEI (Défense des enfants international)
5. Les observations faites par la Comité des droits de l’enfant de Genève à la France
voit ici :
http://www.unicef.fr/contenu/info-humanitaire-unicef/notre-action-en-france